La première fois que j’ai aperçus une Lolita, ce fut une révélation, un choc si bien réaliser dans Kamikaze Girl (lorsque Momoko est touchée en plein cœur) et une évidence d’avoir trouver un mode d’expression, de pouvoir matérialiser mon univers.
Depuis l’enfance, j’ai toujours était intéressée par l’Histoire, l’Art , les contes de fées, donc les habits d’époques (toutes confondues), les costumes. En particulier les superbes robes de nobles Dames sur les tableaux peins avec une telle finesse que l’on peut reconnaître le tissu, le motif des dentelles et les bijoux.
Cette mode décalée, permet d’exprimer ma personnalité, de dire que je ne veux pas ressembler aux autres, que je ne suis pas un mouton, que je ne me reconnaît pas dans la représentation actuelle de la mode où la féminité est gommée.
Le Lolita, ce n’est pas un retour en arrière, c’est grâce à un héritage, que l’on a adapté, permet d’assumer sa féminité, mettre de l’élégance et de la fantaisie voir de la féérie dans sa vie.
Le Lolita est comme une armure qui me protège de la grisaille environnante tout en me permettant d’être moi-même et me pousse à améliorer ma culture, mon style de vie, d’être plus épanouit, donc le bonheur !
Je suis et je porte du Lolita depuis plusieurs années, et c’est toujours un émerveillement, il y a une telle diversité qu’il est difficile de ne pas trouver son style, d’être la Princesse que l’on a toujours rêvé.
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